Le droit à l’oubli ne s’applique pas au baptême même renié.
Le refus d’effacer la mention d’un baptême sur le registre de l’église ne constitue pas une atteinte à la vie privée de l’intéressé, la consultation du registre n’étant ouverte qu’à l’intéressé et aux ministres du culte, eux-mêmes tenus au secret.